Le blog de mynombril.over-blog.com

La reprise du marché de l’immobilier est toujours une bonne nouvelle.

Quand le bâtiment va, tout va, selon le vieil adage.

Mes amis de Corse du sud, qui l’on compris depuis longtemps, viennent de redonner un petit coup de fouet au marché local en faisant exploser durant la nuit la résidence d’un couple de quinquagénaires, après les avoir bâillonnés, ligotés et déposés à quelques kilomètres de là  dans le maquis, selon un processus rôdé depuis longtemps.

Je trouve l’idée intéressante pour dynamiser un marché qui stagne. Il faut seulement adapter le principe pour en faire un véritable outil  de promotion de l’immobilier  en Corse.

Un, élargir la cible, et ne pas se limiter, aux non-Corses, ce qui éviterait, entre autre, de se faire taxer d’affreux racistes, vous savez comme les gens sont méchants…

Deux, cibler une population plus jeune, afin d’éviter, comme c’est souvent le cas d’abandonner de malheureux retraités, seuls dans la nuit, en pleine forêt.  Il y a sur place une population jeune, en pleine santé, habituée au climat Corse qui se fera un plaisir d’attendre quelques heures, ligotée dans le maquis à la belle étoile, moment toujours propice à la poésie.

Trois, éviter le stress très important généré par l’intervention soudaine et brutale d’individus cagoulés dans la chambre à coucher, pendant le premier sommeil, oh combien important.

Une arrivée de jour, en ayant pris rendez vous, produirait un stress beaucoup moins important.

Vous verrez, si vous suivez ces quelques conseils, votre image de professionnels de l’immobilier, à défaut d’une autre, sera enfin, reconnue.

Allez Kenavo…

Les congélateurs me sortent par les yeux.

Combien de fois vais-je devoir le dire et l’écrire ! Si ça continue, je vais faire un mode d’emploi de cet appareil, genre " Du bon usage du congélateur" !

Remarquez, les choses bougent un peu. Maintenant il semble, qu’enfin, on ne mette  plus les bébés à l’intérieur, tout le monde a compris que c’était meilleur frais ou en carpaccio.

Mais ce matin, c’est une femme qui a été découverte dans son congélateur. Il est vrai que l’offre, dans ce domaine, nous présente des produits de plus en plus grands, et qu’il est facile de s’y faire piéger.

J’ai moi-même, en essayant de récupérer un paquet informe qui devait être là depuis des années bien planqué au fond du congélateur,  failli basculer à l’intérieur à jamais… Tout ça par simple curiosité. Maintenant, par instinct de survie, je récupère les choses bizarres du fond avec l’extraordinaire machine à ramasser les boules de pétanques sans se baisser, que m’a offert un ami Marseillais. (Pour votre information, le paquet informe était un reste de Bœuf Bourguignon, que ma femme chérie avait cuisiné il y a 7 ans pour le venue d’un ami Allemand qui voulait connaître la recette et dont nous avions congelé les restes, pas de l’ami Allemand mais du Boeuf Bourguignon, afin qu’il puisse les ramener à Cologne et en faire profiter sa famille, mais qu’il avait malencontreusement oubliés dans l’euphorie du départ, et que nous avions prévu de réchauffer lors de sa prochaine venue, mais comme il n’est jamais revenu manger à la maison à cause d’une sombre histoire de trafic de saucisses à la frontière, le truc était toujours au fond du congel… ).

Peut être cette malheureuse femme, elle aussi, c’est elle fait piégée par sa curiosité, toujours située au fond du congélateur, ou par un courant d’air avec la porte du micro onde, qui aurait soudainement refermé la porte derrière elle…

Les faits sont là, nous sommes en présence d’un produit extrêmement dangereux, pour lequel il faut prendre des mesures sérieuses.

Encore un accident comme celui là et je fais une liste de propositions au ministre du Froid dans le dos !

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le vague pressentiment que cette fausse bonne idée va mettre un vrai bordel dans la distribution alimentaire.

Le ministère de la santé pourrait faire apposer un logo " SAIN " sur les aliments les plus sains.

Sans entrer dans les détails des conditions d’octroi de ce logo, et des lobbies qui vont se mettre en œuvre, il est bien évident que tout le monde ne l’aura pas, sinon pourquoi créer un logo.

Vous imaginez la panique dans l’hyper marché du coin pour remplir son caddie uniquement avec des produits homologués…

Vous imaginez les conséquences sur les produits qui n’auront pas le logo, car de Pas de logo à Poison il n’y a qu’un tout petit pas dans l’inconscient collectif…

Vous imaginez les conséquences sur les entreprises non homologuées et sur l’emploi…

Nous sommes très loin des étiquettes " 0% de matières grasses" ou " 0 calories ", c’est une étiquette qui nous dit, si tu n’achètes pas ce produit, tu es mort, car les autres c’est MALSAIN, et oui, le contraire de SAIN…

Encore une idée de technocrate qui n’a jamais poussé un caddie…

" Deux français sur trois grignotent entre les repas ".

Au-delà de l’intérêt scientifique ou sociologique de cette étude, qui doit surement intéresser beaucoup de monde, il y a un autre point que m’a toujours interpellé dans ce genre de news, et qui je suis certain vous interpelle aussi…Que fait le troisième Français pendant ce temps là ? Avouer que l’étude aurait pu nous le dire, puisqu’ils ont interrogé tout le monde.

Je suppose qu’il ne reste pas là, les bras croisés à regarder les autres grignoter, il doit faire quelque chose…

Mais c’est comme ça dans toutes les études de ce type... Trois français sur dix font du vélo...Deux français sur cinq mangent du clafouti aux fraises…Quatre français sur neuf se mettent les doigts dans nez au volant…On ne  sait jamais ce que font les autres pendant ce là, c’est quand même dommage de ne pas avoir profité du sondage pour leur demander.

Bien sur, nous pouvons supposer que celui qui ne grignote pas, fait du vélo ou se met les doigts dans le nez et peut être même fait il du vélo en se mentant les doigts dans les nez et en mangeant  du clafouti aux fraises, ce qui d’ailleurs, me semble très périlleux.

Enfin s’ils avaient demandé, nous le saurions…

Nous aurions alors  une étude complète du genre  " Pendant que deux français sur trois grignotent, le troisième fait du vélo en mangeant du clafouti aux fraises et en se mettant un doigt dans le nez "

Et avec un seul questionnaire nous aurions même une deuxième étude du genre " Les français qui font du vélo en se mettant un doigt dans le nez et en mangeant du clafouti aux fraises, pendant que les autres grignotent, ont  87 % de chance de se casser la gueule "

Je sais, vous allez me dire que font les 13 % de français qui ne tombent pas de vélo en mangeant du clafouti aux fraises et en se mettant les doigts dans le nez, pendant que les autres grignotent ?

C’est franchement sans intérêt tous ces sondages. 

Jusqu'à ce matin, l’écologie était, je dois le reconnaître, surtout une contrainte.

Je dois trier mes déchets, faire le plein avec du carburant bio, éteindre les lumières derrière moi, faire poser d’horribles panneaux solaires sur mes superbes tuiles et plein d’autres petits trucs…chiants…

Et puis ce matin, la première bonne nouvelle !  Le bruit c’est écolo. Enfin pas le bruit en tant que tel, mais l’usage qui peut en être fait. Pour faire simple, les ondes émises par le son font vibrer une lamelle qui recharge une pile. Epatant non ?!

Vous imaginez…le marteau piqueur du chantier d’à côté chauffe notre ballon d’eau…Quand vous téléphonez avec votre Smartphone, votre voix le recharge en même temps… Extraordinaire non ?!

Moi, grâce à cette invention, c’est un mois de vacances en plus sous les palmiers car dès ce matin, je vais résilier mon abonnement EDF et récupérer un paquet de sous.

Comment ? Simple. Etant donné l’extraordinaire capacité de mon épouse et de ses copines à parler pendant des heures, le nombre de décibel  sera largement suffisant pour illuminer toute la maison…Je me demande même si je ne vais pas pouvoir en revendre aux voisins…