Bravo au Soudan pour cette excellente initiative. Le retour de très nombreux métiers disparus devrait permettre de résoudre une partie du chômage en France.
Il y a bien longtemps chaque place de France avait sa roue et son bourreau chargé de rompre les os, sa gibet ou sa guillotine , voir son piloris, autant d'outils dont un fonctionnaire de la commune avait la charge.
Tous ses petits métiers permettaient à de braves types de nourrir leur famille et ne nous le cachons pas, avaient un certain aspect festif, apportant aux communes l'animation qui leur manque tant aujourd'hui.
Merci donc au Soudan pour les 50 coups de fouets donnés en place publique à cette femme qui avait osé porter un pantalon, confirmant que 2 braves pères de famille avaient été mis à contribution pour appliquer la peine et fait connaître ce magnifique pays au travers des images diffusées sur le net!
Je compte sur toi mon Brice pour redonner à nos jeunes le goût du travail manuel.
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