« Un Français sur trois flirte (ou plus) au bureau ».
Enfin un truc intéressant dans le journal.
Remarquez, on le savait déjà. Mister Love nous a démontré qu’au plus haut niveau de l’entreprise c’est vrai aussi. Lui il était plutôt dans le « ou plus », mais il s’était excusé.
Pour les deux autres, ceux qui ne flirtent pas, aucune information. Est-ce qu’ils regardent ? Prennent des photos ? Font des commentaires à la Machinakawa ? On ne sait pas.
A moins qu’ils se contentent bêtement de travailler…Ah les gros nuls…
Revenons au "un sur trois qui flirte ".
J’ai du mal, comme d’habitude, à comprendre comment on compte.
Exemple : un gars flirte au bureau. Concrètement il fait le niaiseux avec la fille (ou le gars) du bureau d’à côté (il fait rarement le niaiseux tout seul). A partir de quel moment considère t on que l’autre flirte aussi ?
Quand elle ou il répond un truc bien niaiseux aussi?
Quand elle ou il sourit ?
Quand elle ou il ne dit rien (qui ne dit mot consent)?
C’est super compliqué, à défaut d’être intéressant, ce genre d’étude.
Petite précision: si vous êtes concerné par le sujet, au cas ou vous êtes dans le "ou plus ", il faut toujours demander avant à la dame, ça ne prend qu’une seconde, et ça vous évitera de vous retrouver devant un juge à New York. Je dis New York, comme j’aurai dit Béthune, c’est juste pour l’exemple…