« Bon d’accord. Vous me donnez quoi en échange ? »
« Des colliers de verres ? »
« Non, ça ne marche plus depuis longtemps ça. »
« Des lampions ? »
« Vous nous prenez pour des yacks ou quoi ? »
Nos amis chinois, passés maitres dans l’art du commerce international, sont prêts à casser leur tirelire pour nous aider, nous l’Europe, un de leur marché en développement, à condition qu’on les traite d’égal à égal. Normal, non ?!
Aujourd’hui, nos amis chinois ne peuvent pas investir ou exporter chez nous comme ils veulent, car il y a des tas de règles et de quotas.
Alors nous les voulons les sous des Pékinois ou pas ?
Remarquez, ils auraient torts de ne pas profiter de l’occase, c’est ça le commerce.
Je vous parie que nous allons dire oui. Bien sur il va falloir rendre le chinois obligatoire en maternelle, apprendre à manger avec des baguettes, jouer au ping pong et boire de la Bière chinoise, mais bon, ça aurait pu être pire avec l’Inde et deux litres de thé à boire par jour…